Devenir autonome sur le plan culturel, sur le plan interculturel,
qu’est que cela signifie ?

Marie-José Barbot

A-GRAF – Gourette, 2005

 

Interrogations sur l’entrée de l’axe 5 du Colloque de Marrakech intitulé : « rencontres et échanges entre les cultures , autoformation et rencontres entre les cultures »

 

Comme l’écrit Wieviorka du rapport entre les cultures va dépendre l’avenir. Je me situe résolument dans une  approche interculturelle c'est-à-dire celle de la communication entre les cultures dans une visée de ce que M. Abdhallh-Pretceille éfinit comme ‘un humanisme du divers » et non dans une approche multiculturelle qui réduit un acteur à ses appartenances communautaires ou ethniques. Il me semble que le terme « rencontres «  utilisé relève plus du souhait que du constat. Que faut-il pour qu’il y ait rencontre ? Que devint le concept d’autodirection (Holec 1970) dans ce domaine ? Quel accompagnement mette en place en autoformation ?

D’évidence, il s’agit de poser une question qui est plus qu’une question méthodologique, car elle se pose à partir d’un véritable affrontement à ce qui constitue, au sens de G. Bachelard, un «obstacle épistémologique». Cet obstacle fondamental en rencontre trois autres qu’il traverse et induit: un obstacle socioculturel, un obstacle communicationnel et un obstacle pédagogique.

 

Introduction reprendre la notion d’obstacle épistémologique

 

                                                                  I. obstacle socioculturel : enjeux des relations interculturelles

 

Enjeux : sur le plan cognitif et affectif.

Comment se passe le contact entre des cultures, l’exposition à une autre culture permet-elle des apprentissages, des enrichissements, une construction du « je » et à quelles conditions ? l’autos se construit dans le rapport à autrui ce qui signifie que l’interaction est la condition du développement du « je » par imitation, confrontation et choix. Dans « l’inter «  la confrontation entre deux cultures ébranle les schèmes « totalités dynamiques organisées » J. Piaget et les représentations à la condition qu’il y ait intention de communication, intentionnalité des partenaires. Le « je » de l’autos se situe alors dans une logique de dynamique, de communication où le moment t2 est différent de t1, et échappe à la rigidité de la filiation, de l’appartenance d’origine.

                                                     

Obstacles : pour l’étranger il peut y avoir perte de références « ce qui perd toute validité, ce n’est pas seulement l’image du modèle culturel du nouveau groupe que l’étranger a transportée avec lui, mais aussi l’ensemble du schéma d’interprétation de son groupe natal qui était tenu jusque là comme allant de soi » ( Schultz A. L’étranger :25, Allia, 2003 (publ en 1966), Simmel…).°

De plus, d’une façon générale le rapport à l’autre peut se trouver  brouillé d’abord par notre (nos) propre(s) appartenance(s) culturel(les). Plus que d’ethnocentrisme, il pourrait s’agir d’une absence suffisante de remise en question, d’une incapacité à se décentrer, à prendre conscience des filtres à travers lesquels on voit le monde et qui affectent les représentations sur l’autre culture ( stéréotypes, préjugés, clichés, exotisme…). Enfin il est difficile de ne pas émettre de jugements de valeur surtout si des catégories qui touchent à l’intimité sont en jeu ( cru et cuit, pudeur, propre et sale…).

 La rencontre ne va pas de soi. Un lien fort existe entre cultures et identité dont peut-être on parle davantage aujourd’hui qui doit être explicité. Comme le souligne Zygmund Baumann dans son livre Identity on peut mettre l’accent sur l’identité culturelle dans une approche communautaire, multiculturelle ou mettre l’accent sur l’identité nationale. Cela n’empêche pas qu’au-delà de la difficulté éprouvée par beaucoup de quêtes d’identité, certains sont exclus, rejetés, hors-classe. Ils sont privés de leur appartenance culturelle et identifiés à des groupe définis « in absencia » les sans- papiers, les sans domicile fixe (G. Agammden “bio” reduced to zoë). La question de la médiation sociale et du type d’autoformation à mettre en œuvre face à la fracture sociale pose alors question.

L’identification est un facteur de distinction, de stratification sociale et culturelle : « At one pole of the emergent global hierarchy are those who can compose and decompose their identities more or less at will, drawing from the uncommonly large , planet-wide pole of offers. At the other pole are crowded those whose access to identify choice has been barred, people who are given no say in deciding their preferences and who in the end are burdened with identities enforced and imposed by others. Stereotyping, humiliating, dehumanizing, stigmatizing identities (Bauman :2004 : 38 ) Encore en dessous existe une underclass identity . Aborder les relations entre cultures permet de se replacer sur le plan du collectif (qui risque d’être omis dans une approche fondée sur la reconnaissance et sur les stratégies personnelles.)

 

Se positionner dans une visée d’autonomisation signifie de se situer dans une perspective communicationnelle « symétrique »telle que l’a définie :

·   l’école de Palo Alto qui tient compte de tous les paramètres (proxémie, gestuelle, kinésie…) et implique une prise de conscience de la fragilité de la communication, des dysfonctionnements, des « doubles contraintes », des paradoxes. Appartenant à une culture j’ai une connaissance implicite de codes qui me permettent de jouer dans l’orchestre que serait la communication qui est culturelle.

·   L’interactionisme (Simmel ) : l’être humain se transforme au contact de l’environnement matériel et humain. Notion d’ »acculturation »

·   L’éthique (Lévinas) autrui permet de se connaître ce qui est à l’origine de « parcours de reconnaissance «   si autrui n’est pas assez incorporé en soi pour se reconnaître sa propre valeur, l’estime de soi. Au nom de cette éthique l’empathie et la congruence (Rogers) sont des principes inspirant la relation didactique.

·   La distinction (Bourdieu) (âge, sexe, génération, régions, professions, éducation ; capitaux culturels , social et économique ), notion d’habitus. Ignorer ses propres habitus empêche une décentration et favorise un ethnocentrisme.

·   La formation  interculturelle (Abdallah-Pretceille, M. Porcher L., 1996,  Abdhallah-Pretceille M 1999) est une attitude face à la diversité des cultures (au sens où on parle de formation scientifique qui induit un type de regard sur le monde) et ne porte pas sur un contenu.  Le regard est interculturel et non l’objet regardé. « Interculturel »  est un adjectif et non un nom, les contenus ne sont pas interculturels, mais la façon de les approcher. Une approche multiculturelle ou pluriculturelle favorise une identification en termes communautaires et en termes de filiation au détriment d’un « je » à géométrie variable qui peut se trouver enfermé dans sa seule identité communautaire. Elle peut être réductrice et s’oriente vers la revendication de droits spécifiques (quota, parité..) et non universels. Priorité à l’appartenance ethnique, communautaire sur l’identité du sujet qui devient « breton » , « beur », « protestant » « mal voyant » avant d’être citoyen

·   Le modèle du triangle des différences culturelles de Wieviorka (1999) permet de penser  l’identité en termes de tensions entre trois pôles. S’ils sont absents ou déconstruits un danger d’effondrement ou de perturbation menace la personnalité : « Je «  qui est soumis à un collectif (jusqu’à la secte) à la fermeture sur soi (repli, mégalomanie) ou à l’identification au rôle professionnel (work addict). Les trois pôles sont interpellés dans l’exposition à la culture de l’autre et peuvent subir un processus de déconstruction-reconstruction. Ce modèle permet d’anticiper des secteurs, je dirai des « nœuds » où il va se poser des questions qui peuvent devenir des problèmes. Wieviorka se  situe sur le plan de dynamique identitaire, contre la rigidité de la filiation, de l’appartenance. Dynamique reprise à travers les notions  d’appartenances qui, subies dans la filiation, peuvent devenues conscientes devenir l’objet d’un choix, d’une l’affiliation,  je signe   ou  je réfute  l’héritage (De Singly) en connaissance de cause.

 

 

Sur un plan anthropologique il est important de prendre en compte  ce qu’on apprend dans une culture et comment on l’apprend. En effet la culture est constituée de savoirs nécessaires si on veut survivre et participer à la vie et à ses différentes situations. L’autonomie culturelle se conquiert à la fois par :

 - les pratiques d’éducation : rapport à la dépendance (Doi) et aux images parentales, degré de permissivité, age et procédure de sevrage, modèles masculins/féminin, modèles individualisme/holisme…

- les savoirs culturels partagés implicites et explicites négociés et appris à travers l’expérience, les interactions, le discours interactif, la participation et l’observation.

Dans ce domaine, un certain nombre de recherches se sont développées (travaux menés par Hofstede  «  Four dimensions of National Culture » qui distingue 4 catégories: individualisme versus collectivisme, distance au pouvoir : « The fundamental issue involved how society deals with the fact that people are unequal… » Hofstede G., 1983 : 81, évitement de l’incertitude , masculin versus féminin) mais il semble que du point de vue de l’autonomisation, il est important de repérer en quoi les styles d’apprentissages sont culturels peut-être à partir du modèle de Kolb

 

Le sens : l’anthropologie invite à comprendre le sens de ce que les acteurs d’une culture mettent en scène (Goffman). être autonome sur le plan culturel est prendre conscience de ce que l’on joue et prendre conscience de ce que l’autre joue pour pouvoir communiquer. Pour celui qui vient d’une autre culture comment peut-on le sensibiliser à observer, interroger et agir. A trouver du sens à l’échelle du monde, Augé (Leçons d’Afrique). « …j’ai aussi appris à considérer qu’il n’y avait pas d’espace innocent, pas d’espace déconnecté du social, que l’espace était toujours plus contraignant qu’il n’y paraissait à première vue. Il n’y pas des espaces socialisés et d’autres qui ne le seraient pas, mais des espaces socialisés et des espaces socialisés autrement, par exemple des espaces symbolisés et des espaces codifiés » Augé M., 2003 : 54

 

La perte du sens dans notre propre culture est présentée par Castoriadis comme menace à notre autonomie cf. La société insignifiante  . "L'instauration de ces trois dimensions - représentations, finalités, affects - va de pair chaque fois avec leur concrétisation par toutes sortes d'institutions particulières, médiatrices - et, bien entendu, par le premier groupe qui entoure l'individu, la famille - puis toute une série de voisinages  topologiquement inclus les uns dans les autres  …"p 128. Crise du processus identificatoire alors que ce qui est important est le sens qui est donné par la société le modèle identificatoire "C'est celui de l'individu qui gagne le plus possible et jouit le plus possible ; p131

 

 

                                                                 II. Obstacle communicationnel : champs et pratiques innovantes

 

 

1. Lieux   de contacts  entre cultures ?

Il est important de mette en place des outils d’observation et des recherches pour comprendre ce que jouent les acteurs dans les contacts entre les cultures. 

Discrimination, rejet                      indifférence …  ………………….échanges, reconnaissance

 

pratiques formelles : des objectifs affichés

·   Les organisations internationales  types UNESCO, ONU

·   échanges dans le cadre de l’Europe (programmes scolaires, universitaires : Erasmus)

·   Les espaces de passage : frontières, naturalisation, CAI, papiers d’identité

·   Les TIC : Réussites (site cultura de G. Furstenberg, MIT) et dysfonctionnements ;

·   Prototypes : accueil en France des étrangers entre 16 et 18 ans (scolarité non obligatoire, risque de ne pas avoir d’accès à la langue-culture)

·   L’éducation à la paix (mouvement Bahai)

·   Les lieux de récupération : vecteur de publicité

·   Espaces de création artistique : littératures de voyages, récits des explorateurs, des missionnaires. Films ( Spike Lee, Festin de Babette..) , l’étranger et rencontres entre cultures dans les livres saints.

 

pratiques non formelles : effets non attendus

·   Les lieux de contacts : , écoles, sports,santé, religions, musiques, les médias (ARTE), partis politiques, entreprises

·   Avec les TIC comme outil de contact : interactions : «  pseudo communautés » et « communauté crochet (peg)

·   Sans les TIC : cafés polyglottes, réseau d’échanges de savoirs, jeux d’échecs

·   Des lieux publics non scolaires : en prison, à l’hôpital

·   Mondialisation et alternatives : écotourisme…

 

2. Recherches sur l’autoformation interculturelle

Formation de formateurs

Dans une approche de  formation interculturelle, la recherche-action porte sur les dispositifs et les outils à emprunter à l’alternance et à l’autoformation existentielle qui permettent de prendre conscience d’un vécu spécifique qui est celui de rapport à une autre  culture : Mettre en place une démarche compréhensive et réflexive à partir du vécu s’oppose radicalement à l’approche culturaliste où on réduit l’autre à être porteur d’éléments d’une culture, à un moment donné, comme si ce n’était pas avant tout des êtres humains qui sont en contact.

 

études de cas de formation interculturelle en ligne[1]

Si l’essentiel dans la formation interculturelle est le contact avec l’autre, le multimédia permet en situation scolaire de provoquer ce rapport à l’autre  malgré ce qui était un handicap, la distance géographique : cf thèse sur l’apprentissage interculturel en milieu homogène, privé de contacts avec l’étranger à partir de forums. Ces activités qui relèvent de la pédagogie du projet s’inscrivent réactivent les questionnements de la pédagogie active et de la pédagogie de groupe à partir des contacts entre cultures.cf. http://www.ethnokids.net/ressources.php

 

1. Site cultura, mots clés : processus et collaboration

http://web.mit.edu/french/culturaNEH/cultura2001/index.html, Gilberte Furstenberg. Mise en œuvre d’activités en fonction de l’environnement de deux groupes américains (MIT)et français (école des PTT). L’étudiant directement impliqué, rôle d’informateur ,  de demandeur et de  générateur qui  apporte le contenu.

2. tandem projet franco-allemand dans le primaire (D. Macaire )

Principes socio-constructivistes et pédagogie de la coopération cf. C.Freinet, même dans un monde virtuel chacun apporte sa culture : construire une ville, un centre de vacances

contre modèle impositif où tout serait fixé auparavant .Pour chaque VC une situation-problème = construction, élaboration.

3. New York /Venise : développement de l‘identité sociale du groupe et de sous groupes

Description du projet : classes américaines  apprenant l’italien. Italiens, italiens apprenant les  TIC

But : création d’un site internet

Création d’une culture partagée, idioculture dans un environnement de communauté virtuelle

 

Sur le plan linguistique au niveau micro éducatif les contenus des échanges peuvent être étudiés du point de vue des interactions, méso de l’analyse de discours et macro  sur les finalités visées du pont de vue de l’autonomie et de l’éducation interculturelle. Une approche interdisciplinaire est donc convoquée pour prendre en compte la complexité de la communication entre cultures.

 

 

                                                              III. Processus et cadres . quelle autodirection et quelle formation ?

 

Ce qui serait en question est la recherche-action dans ce domaine et ce qui pourrait aller vers une modélisation à partir de la diversité des formalisations des contacts entre cultures allant dans le sens de l’autoformation.

 

Objectifs

·   maîtriser une « compétence socioculturelle : savoirs, savoir apprendre et savoir être, savoir-faire ». Travaux du conseil de l’Europe, 1994, Byram et Zarate

·   favoriser la communication entre cultures diverses

·   développer l’autonomie culturelle et cognitive

·   être capable de  vivre et de travailler à l’étranger  (échelles du touriste au résident…°au naturalisé)

·   permettre une prise de conscience et une introspection à partir de la mise en relation avec l’autre, l’étranger 

 

Hypothèse : l’expérience de cultures différentes est une  clé de l’autonomisation 

 

Mise en œuvre de l’autoformation et contacts entre cultures ,

Notions en question : acculturation, choc culturel, exotisme, cosmopolitisme, métissage (Amselle), œcuménisme

La rencontre ne va pas de soi . Que faut-il pour qu’il y ait communication (au préalable, anticipation de situations ; pendant et après) ?

Alors que le cadre de l’école reproduit l’expérience sans enjeu, les situations de la réalité, au contraire en alternance, stages, échanges linguistiques, collaboration grâce aux TIC[2] placent des acteurs dans l’expérience face à l’étranger et où ils doivent gérer  l’écart entre « ce qui va de soi » croit-on et le réel.,

Redécouverte de la pédagogie active, de groupe (Lewin), ethnosociologie et microsociologie.

 

Méthodologie : stratégies pour prévenir et anticiper les ruptures, résoudre les conflits

·   attention à la phase de préparation. Notion de charte et de contrat   

·   création d’espaces de métaréflexion ou introspection pour partir du ressenti et mentaliser le vécu : techniques du « journal d’étonnement », du blog

·   autoévaluation du travail du groupe par chaque membre

·   autoévaluation individuelle et définition de critères :as-tu créé du feedback, résolu une amorce de conflit , désamorcé un pb ?

·   identification de nœuds dans des trames qui peuvent poser problème : courtoisie et respect ; le temps ; rapport à l’argent (règles de netétiquette), à la parole (la prendre, la couper), maniement de l’humour, de l’ironie, de l’agressivité.

·   difficultés liées aux langues

·   former à une autre idée de la collaboration cf. pédagogie de groupe

·   l’accompagnement Intervention et principe d’ingérence

·   anticiper les risques et les remédiations cf. pédagogie du projet

 

Ce qui ressort est la nécessité de partager des repères, des référents une idioculture pour qu’il y ait échanges

 

Conclusion

Nécessité de mieux comprendre ce qui se joue dans les rapports entre cultures à partir de recherches qui  s’appuient  sur  la sociologie et la psychologie sociale. (Cf. Livre de S. Béaud courriels entre un sociologue et un jeune de la cité qui montre la distance et l’exclusion entre deux cultures auquel un acteur appartient) Attention donc au mot « rencontre »

Pour un humanisme de la diversité : l'humanisme comme une philosophie non pas des idées abstraites, mais de l'homme concret et de ses principes d'action.

 

Références

·   Abdallah-Pretceille M., 1999, L' Éducation interculturelle, Paris: PUF, "Que sais-je ? " n°1487

·   Abdallah-Pretceille M., 3è édit. 1996, Vers une pédagogie interculturelle, Paris : Anthropos

·   Abdallah-Pretceille M. Porcher L., 1996, Éducation et Communication Interculturelle, Paris : PUF

·   Barbot M-J, Lawes S., 2004, " / « formateurs en langue : l'approche interculturelle une des clés de l'autonomie", Actes du colloque Pour une recherche inter IUFM sur les dispositifs innovants dans la formation des enseignants, IUFM Nord Pas de Calais, Trigone, Gericho Cahiers du Cueep, Lille 1

·   Barbot M-J et Payeur A (2001) "The intercultural approach and the evolution of the education system", in Kelly, M, Fant, L., and Elliott, I., Third level, third space, Intercultural communication

·   Castoriadis C. 1995,  tome IV, La montée de l'insignifiance, Les carrefours du labyrinthe

·   Bauman Z., Identity, 2004, Polity Press, Cambridge

·   Hofstede G., 1983, “The cultural Relativity of organizational Practices and Theories” Journal of International Business Studies, Fal 83,pp 75-89

·   Schultz A. L’étranger :25, Allia, 2003

 



[1] Cf. Travaux de l’équipe de recherches Plurilinguisme et Multimédia, PluMMe équipe de recherches http://icar.univ-lyon2.fr/ Journée annuelle sur la formation ouverte FO avec enregistrements vidéos en ligne, (C. Develotte ex. Crédif à St Cloud) et Aténa Les présentations Power Points de ces trois présentations des Journées annuelles sur la formation ouverte FO avec enregistrements vidéos en ligne sont archivées de même que les vidéos :http://www.ens-lsh.fr/labo/plumme/index.htm

[2] cf. www.ens-lsh.fr/labo/plurapp/ février 2oo 3 « Métiers de la FOàD » présentation de trois réalisations ; voir aussi site de l’IUFM de Paris : http://espagnol.paris.iufm.fr  et ethnokids.net