Végétarien


/ samedi, avril 10th, 2021

Pourquoi faudrait-il être végétarien ? Parce que la production de viande représente 14,5 % des émissions de GES (statistiques 2018 / équivalent CO2). De là cette recommandation du GIEC : « Limiter la consommation moyenne de viande de ruminants (bovins, ovins, caprins) à 10 g par jour et la consommation des autres viandes, du poisson et des œufs à 80 g par jour permettrait de réduire de 36 % les émissions de GES d’origine agricole, et de plus de 8,5 % les émissions totales de GES. » En plus on est en bonne compagnie… « Toute la philosophie antique était orientée sur la simplicité de la vie et enseignait une certaine sobriété. De ce point de vue, le peu de végétariens par philosophie ont fait plus pour l’humanité que tous les philosophes modernes et tant qu’ils n’auront pas le courage de chercher un mode de vie totalement différent et de l’indiquer comme exemple, ils ne porteront aucun fruit. »

Nietzsche

« Qu’y a-t-il de plus repoussant que de se nourrir continuellement de chair de cadavre ?

Voltaire

« Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l’ignorance, l’indifférence, la cruauté, qui d’ailleurs ne s’exercent si souvent contre l’homme parce qu’elles se sont fait la main sur les bêtes. Rappelons-nous, s’il faut toujours tout ramener à nous-mêmes, qu’il y aurait moins d’enfants martyrs s’il y avait moins d’animaux torturés, moins de wagons plombés amenant à la mort les victimes de quelconques dictatures, si nous n’avions pris l’habitude des fourgons où les bêtes agonisent sans nourriture et sans eau en attendant l’abattoir. »

Marguerite Yourcenar

« Jadis, le fait de croire que les hommes de couleur étaient vraiment des hommes et devaient être traités humainement passait pour une folie. Aujourd’hui, on considère comme exagéré de prétendre qu’un des devoirs imposés par l’éthique rationnelle est de respecter ce qui vit, même dans ses formes inférieures. Mais un jour, on s’étonnera qu’il ait fallu autant de temps à l’humanité pour admettre que des déprédations insouciantes causées à ce qui vit sont incompatibles avec l’éthique. »

Albert Schweitzer

« L’anatomie comparée nous enseigne qu’en toute chose, l’homme, ressemble aux animaux frugivores, et en rien aux carnivores… Ce n’est qu’en déguisant la chair morte rendue plus tendre par des préparatifs culinaires, qu’elle est susceptible d’être mastiquée et digérée par l’homme chez qui, de la sorte, la vue des viandes crues et saignantes n’excite pas l’horreur et le dégoût. »

Cuvier

« Je suis végétarien et anti-alcoolique ; ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau ».

Thomas Edison

« Je crois que le progrès spirituel exige de nous que nous cessions de tuer les autres êtres vivants pour nos besoins corporels ». « La grandeur d’une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés de la manière dont elle traite les animaux ».

Gandhi

« Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d’opter pour un végétarien ».

Albert Einstein

« J’ai très tôt renoncé à la viande et un jour viendra où les hommes tels que moi proscriront le meurtre des animaux comme ils proscrivent aujourd’hui le meurtre de leurs semblables ».

Léonard de Vinci

« Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entretueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour ».

Pythagore

« Peu d’hommes pourraient supporter pendant cinq minutes l’observation d’un animal se débattant, avec un membre écrasé ou déchiqueté ». « La classification des formes, des fonctions organiques et des régimes a montré d’une façon évidente que la nourriture normale de l’humain est végétale comme celle des anthropoïdes et des singes, que nos canines sont moins développées que les leurs, et que nous ne sommes pas destinés à entrer en compétition avec les bêtes sauvages ou les animaux carnivores ».

Darwin

« Ma mère était convaincue, et j’ai gardé à cet égard ses convictions, que tuer les animaux pour se nourrir de leur chair et de leur sang est l’une des plus déplorables et des plus honteuses infirmités de la condition humaine ; que c’est une de ces malédictions jetées sur l’homme par l’endurcissement de sa propre perversité ».

Lamartine

« Back to Glossary Index