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Colloque GRAF 98 -
Dijon, semaine du
10 au 12 décembre 1998. Pré-annonce
du 4ème Colloque Européen sur l'Autoformation Pratiques
d'autoformation dans la Société de l'information La
société en émergence dite de l'information a pour origine le rapprochement de
plusieurs techniques : l'audiovisuel, l'informatique, les télécommunications
et la robotique. L'information numérisée peut se manipuler, se stocker, se
dupliquer, s'échanger, piloter des machines. Toutes les activités culturelles,
industrielles, commerciales, ludiques, irriguées par cette information numérisée,
sont concernées. On apprend, on travaille, on échange, on se distrait
autrement. L'information n'est plus confinée dans des lieux professionnalisés
tels que les universités, les bibliothèques, les bureaux d'études, les
bourses, les salles de rédaction. Elle circule et, de plus en plus, les
citoyens et les travailleurs peuvent avoir un accès direct aux sources de
l'information, bousculant la notion de territoire tant du point de vue géographique
que politique ou économique. Nous
sommes entrés dans une ère d'abondance informationnelle qui peut aussi se révéler
sélective. L'accès au savoir s'appuie de plus en plus sur les capacités
sociales, cognitives, identitaires des personnes. L'autoformation représente un
enjeu mettant en lien le propre développement de la personne, les réseaux
humains et numériques. Dans
ce contexte, il faut imaginer de nouveaux outils culturels pour tirer profit de
cette richesse, au delà de l'encyclopédisme, et développer la maîtrise des
outils techniques de manipulation de l'information, tant pour "faire"
que pour "apprendre". Un
nouveau rapport au savoir, comme ensemble de connaissances plus ou moins systématisées,
acquises par une activité mentale, est entrain de naître qui remet en cause
l'organisation hiérarchique du système éducatif et de formation pour déboucher
sur de multiples réseaux de compétences. Le renforcement de la culture générale
et l'appel à l'autodirection de sa formation devront faire le contre poids à
la dispersion généralisée des connaissances, et permettre à l'individu de
tisser ses propres continuités entre les temps et les espaces sociaux. Objectif
L'objectif
de ce colloque est de traiter des enjeux de l'autoformation dans la société de
l'information. La modalité proposée est d'interroger les pratiques pour
identifier les théories en émergence, et par conséquent se situer davantage
dans une démarche de type recherche-développement. Thématiques
Ce
colloque est structuré autour de trois thématiques majeures. 1.
Pratiques d'apprenant dans des situations de formation induites par la société
de l'information et ses outils. A
l'heure de la mondialisation de l'information, de l'émergence d'une société
de l'information dite communicante, les modalités d'accès aux connaissances et
de construction du savoir se trouvent transformées par les modalités de
production et de diffusion de l'information, accessible ou non par les nouvelles
technologies. Encore
très empruntée aux modèles d'éducation, en début de vie et pour la vie, la
formation semble pourtant être à l'aube d'une explosion de pratiques. La société
de l'information s'annonce ainsi autant dans ses objectifs, où l'intelligence
devient une condition d'existence, que dans les moyens qu'elle peut mobiliser
pour apprendre. La formation permanente, depuis longtemps annoncée, réapparaît
dans cette perspective autour de deux dimensions, de deux problématiques : ·
Comment envisager “ l'éducation
et la formation tout au long de la vie”, comment penser le développement de
la personne aux différents âges de sa vie dans un environnement de plus en
plus virtuel, générant de nouvelles connaissances ? ·
Quelles sont les pratiques pédagogiques
induites par l'usage des technologies de l'information et de la communication ?
Quelles conditions requiert la mise à distance possible entre celui qui apprend
et celui qui enseigne dans les différentes situations de la vie personnelle,
professionnelle, sociale ? 2.
Production, mobilisation et échange de savoir dans les constructions sociales
(collectifs, organisations, réseaux, etc.) de la société de l'information. Les
connaissances se construisent et s'échangent dans des formes sociales nouvelles
où s'élaborent de nouveaux rapports entre l'individuel et le collectif. ·
Peut-on dire que ces formes
sociales (réseaux d'échanges de savoir, etc.), en suscitant des pratiques
d'autoformation, développent le lien social ? ·
Quel est le rapport entre les
modalités de construction collective du savoir (sous forme coopérative,
mutuelle, en réseau, travail coopératif…) et les formes organisationnelles ?
·
Peut-on parler de l'émergence de
compétences collectives comme un des nouveaux enjeux du travail ? ·
En quoi le travail coopératif génère-t-il
des formes d'échanges et de construction du savoir ? ·
Quelle est la place et le rôle
des Nouvelles Technologies dans ces processus ? 3.
Autoformation, action et citoyenneté dans des territoires recomposés d'une
société de l'information. Cette
thématique renvoie à l'accès à la formation sur l'ensemble du territoire, à
la multiplication des sources d'éducation appelant l'autodirection de sa
formation, au contre pouvoir de citoyens formés face aux experts dans le cas de
décision d'aménagement complexe ... Un citoyen actif est un citoyen formé au
débat, ayant le sens critique et capable de prendre des initiatives. ·
Le système éducatif sera-t-il
en mesure de produire de tels citoyens ? ·
L'autodirection de sa formation
est-elle encouragée pendant la scolarité ? ·
Quelles sont les nouvelles formes
de participation au débat démocratique ? ·
Quels sont les nouveaux espaces
publics de débat et les nouveaux lieux d'échanges ? ·
L'autoformation peut-elle se
penser en dehors de ces questions ? Comité
d'organisation
Bernard
BLANDIN (CESI), Bernadette COURTOIS (AFPA), Pierre LANDRY (OTE), Gérard MLEKUZ
(Université de Lille, CUEEP), André MOISAN (CNAM), Didier PAQUELIN (ENESAD),
Hervé PREVOST (AFPA). Comité
scientifique
Séraphin
ALAVA (Université Toulouse le Mirail) Calendrier
Mars
: appel à propositions (diffusion
dans des revues), sollicitation d'intervenants (communication, animation
d'atelier) Contact
Didier
PAQUELIN , ENESAD-CNERTA 26 bd du
Docteur Petitjean BP1607 21036 Dijon cedex tél
: 03 80 77 26 54 fax : 03 80 77 26 53 e-mail : d.paquelin@educagri.fr Première
rencontre mondiale de recherche et de réflexion Montréal,
14-17 septembre 1997 Pourquoi
une rencontre mondiale sur l'autoformation?
Depuis
1975, il y a un intérêt croissant pour l'autoformation, qui se manifeste par
la multiplication de travaux sur ce sujet et par l'addition de nouveaux milieux
où les pratiques autoformatrices sont étudiées. A l'avenir, cet intérêt est
susceptible de s'accroître, individus et organisations étant appelés à
devoir recourir davantage à l'autoformation en raison de changements notamment
dans le domaine del'économie (restrictions financières obligeant à faire plus
avec moins), des technologies (possibilité d'apprendre différemment à l'aide
de nouvelles technologies), de l'organisation du travail (variété, complexité
et autonomie accrue du travail posant de nouvelles exigences de formation) et du
marché du travail (accent mis sur la responsabilité individuelle en matière
d'employabilité). Nonobstant
les progrès accomplis au plan de la echerche sur l'autoformation, certaines
questions méritent encore réflexion si l'on veut poursuivre le développement
des connaissances et contribuer à l'efficacité des pratiques. Certaines de ces
questions sont d'ordre conceptuel et méthodologiques, d'autres ont une portée
pratique. C'est ce que montre les exemples suivants :
·
Quelles sont
les divergences et les complémentarités entre diverses approches conceptuelles
à l'étude de l'autoformation? Quels sont les nouveaux apports ayant trait à
ces approches? ·
Quels sont les
facteurs internes et externes facilitant les apprentissages autodirigés?
Comment mesurer adéquatement l'autodirection dans les apprentissages?
·
Quels sont les
pratiques de soutien organisationnel à l'autoformation, quels sont leurs effets
et quels sont leurs déterminants? ·
Quelles sont
les pratiques individuelles d'autoformation, quels sont leurs résultats et
quels sont les facteurs qui les influencent?
C'est
dans le but notamment de répondre à ces questions que sera tenue la première
rencontre scientifique mondiale sur l'autoformation. Cet événement mettra en
contact des chercheurs de divers pays et continents, appartenant à des
disciplines différentes (éducatio, gestion, psychologie...)
Cette
rencontre, qui devrait se répéter aux trois ans, notamment en Amérique et en
Europe, se veut dons à la fois différente et complémentaire de celles qui
sont organisées annuellement en France et aux Etats-Unis, notamment par la
langue, par la provenance élargie des chercheurs regroupés et par les thèmes
étudiés. Quel
est le programme de la rencontre scientifique?
L'après-midi
du 14 septembre servira à ouvrir la rencontre scientifique et à discuter des
problèmes méthodologiques associés à la conceptualisation et à la mesure de
l'autoformation. Chacune des autres journées sera consacrées à l'étude de
l'autoformation dans un milieu spécifique :
·
le 15
septembre : l'autoformation dans les organisations de production
·
le 16
septembre : l'autoformation dans le contexte des associations professionnelles
et sociales ·
le 17
septembre : l'autoformation dans le contexte de l'enseignement supérieur
Les
présentations-dicussions et tables rondes de chaque journée devraient porter
sur les thèmes suivants : ·
Les problèmes
méthodologiques
reliés à l'étude de l'autoformation : définition, mesure...
·
Les
politiques et pratiques organisationnelle de soutien à l'autoformation
: discussion et analyse de politiques et de pratiques, étude de leur déterminants
(culture d'apprentissage, rôles de la direction et des formateurs...) et étude
de leurs effets (apprentissage réalisés, changements dans les rôles des
formateurs...) ·
Les
pratiques individuelles d'autoformation
: description et analyses de pratiques autoformatrices, détermination de ces
pratiques (facteur de personnalité, capacité d'apprendre à apprendre...),
autodiagnostic des besoins de formation, stratégies d'apprentissage et problèmes
spécifiques que pose l'autoformation (qualité des apprentissages, évaluation
de ces derniers...) Par
son mode d'organisation, la rencontre scientifique vise deux types d'objectifs :
·
élaborer un
portrait d 'ensemble et, si possible, un bilan de l'autoformation en
relation avec chaque milieu d'application pris en considération
·
élaborer un
portrait d'ensemble de certains thèmes spécifiques traités en relation avec
les diverses domaines d'application, tels que : les organisations apprenantes et
l'autoformation, les histoires de vie comme moyen de s'autoformer, les stratégies
d'apprentissage en contexte d'autoformation, et l'apprentissage par l'expérience
comme moyen de s'autoformer Autoformation
: état des pratiques et de la réflexion régionales Lille,
9 octobre 1997 1.
Ouverture
par Yves Obré 2.
Table ronde
animée par Jacques Hedoux 3.
Exposé 4.
Ateliers o
Autoformation et centre de
ressources par Daniel Poisson o
Autoformation et nouvelles
technologies de l'information et de la communication par Michel Loonis o
Autoformation et évoultion des métiers
de la formation par Frédéric Haeuw o
Autoformation et alternance par
Jean Clenet o
Autoformation et société éducative
par Gérard Mlékuz 5.
Clôture
o
Mise en commun et synthèse o
Annonce des prolongements Rencontre
du réseau francophone de Recherche en Education et Formation.
Le
réseau international francophone de Recherche en Education et Formation (REF) a
choisi d'organiser sa prochaine rencontre biennale à Toulouse (France) du 26 au
29 octobre 1998. Le comité d'organisation, composé de représentants des différentes
institutions impliquées dans la recherche en éducation se propose de mettre
sur pied plus de 14 symposium du 26 au 27 octobre 1998 et un colloque
international du 27 au 29 Octobre sur le thème fédérateur " Savoirs,
rapports aux savoirs et professionnalisation. ". Notre
Université accueillera durant cette période 6 symposium regroupant les
chercheurs francophones confirmés dans la recherche en éducation sur les thèmes
suivants : ·
Quelle professionnalisation
des formateurs d'enseignants ?
Direction : M.ALTET (Université de Nantes) et P.PERRENOUD (Université de
Genève). ·
Groupes et formation des
adultes. Direction : C.SOLAR
(Université de Montréal) et E.BOURGEOIS (Université Louvain la Nouvelle). ·
Professionnalisation des
activités émergentes dans les contextes locaux.
Direction : M.BATAILLE (Université Toulouse le Mirail) et J.FERRASSE
(Université Toulouse le Mirail). ·
La gestion de la classe.
Direction : J.FIJALKOW (Université Toulouse le Mirail) et T.NAULT
(Université de Sherbrooke). ·
Pratiques enseignantes et
recherche en éducation : la recherche en quête d'identité.
Direction : J.DONNAY (Université de Namur) et M.BRU (Université de
Toulouse le Mirail). ·
Cyberespace et autoformation.
Direction : S.ALAVA (Université de Toulouse le Mirail). J'ai
l'honneur de vous inviter à participer au symposium " Cyberespace
et autoformation " que je
dirigerai et qui se proposera de faire le point sur les recherches en éducation
sur l'évolution des pratiques apprenantes et enseignantes dans le domaine des réseaux
électroniques. L'autoformation est souvent utilisée comme concept commode pour
décrire les pratiques autonomes d'apprentissage utilisant le cyberespace.
Pourtant, les recherches conduites sur l'autoformation, l'autodidaxie ou
l'apprentissage autodirigé peuvent aujourd'hui nous interroger sur les modélisations
existantes dans le champ scientifique pour tenter de décrire et d'expliquer l'émergence
évidente d'une autre façon d'apprendre et d'enseigner. Le
symposium auquel j'ai le plaisir de vous proposer de participer réunira durant
deux journées des chercheurs issues d'axes paradigmatiques parfois éloignés
(didactique, sociologie, psychologie, sciences de l'éducation, ingénierie,
....) mais qui ont tous comme point commun de porter un regard scientifique sur
les nouvelles technologies et sur l'enseignement et l'apprentissage. L'objet
n'est pas à l'évidence de rechercher un consensus superficiel mais bien
d'examiner de façon approfondie les concepts, méthodes et résultats qui
aujourd'hui nous permettent d'éclairer de façon scientifique ce domaine de
forte innovation. Vos
travaux et vos approches théoriques et pratiques nous sont donc utiles pour
faire de ce symposium dans un environnement scientifique riche un moment
opportun d'avancée de nos réflexions. L'organisation
du symposium que je me propose de coordonner est simple. Je vous sollicite en
premier afin de structurer nos travaux. Si vous ne pouviez pas vous rendre
disponible pour ces dates, je vous serais reconnaissant de nous signaler les
chercheurs qui vous semblent pouvoir représenter le mieux votre approche. Après
le 15 décembre et après avis du conseil scientifique du REF, je vous
recontacterai afin de prévoir avec vous les thèmes de votre intervention. La
dynamique du symposium est la suivante : ·
Envoi des textes de chaque
participant support du symposium pour le 15 avril 1997. ·
Communication de l'ensemble des
textes aux participants pour le 1 juin. ·
Interaction entre les membres et
le responsable du symposium pour régler les modalités des débats pour le 1
septembre ; ·
Symposium du 26 au 27 octobre
1997 Université Toulouse le Mirail Maison de le recherche 5 allées Antonio
MACHADO 31078 Toulouse Cedex. ·
Réalisation du manuscrit de nos
travaux ·
Publication après avis du
conseil scientifique et des responsables de la collection Perspectives en éducation
chez De Boeck Université. Notre
symposium profitera durant cette semaine de l'environnement scientifique riche
et de la dynamique de publication qui a toujours prévalue au sein du réseau
REF. Le colloque qui suivra sur Toulouse pourra être pour nous aussi l'occasion
d'échanges avec d'autres collègues. Un appel à communication va être lancé
afin d'alimenter les 28 ateliers du colloque. Plusieurs communications portant
sur les thèmes qui nous regroupent pourront trouver un écho durant cette
manifestation. Je vous serais gré de diffuser auprès de vos collègues ou
doctorants cet appel et je me chargerai si vous le désirez de suivre ces
demandes. Les
prochaines rencontres du REF et le symposium que j'ai le plaisir de coordonner
seront l'occasion de renforcer entre nos différents pays des liens
scientifiques déjà riches. J'attends au plus tôt vos réactions et vos
sollicitations. La réussite du symposium dépend de chacun d'entre nous. P.J. :
Un formulaire de réponse pour le
symposium. La
liste des participants éventuels pour notre symposium. Un
document d'information sur le REF. La
présentation générale des rencontres 1998. Un
formulaire d'appel à communication pour le colloque. P.S :
Le budget de l'ensemble de la manifestation ne nous permettant pas de prendre en
charge les frais de déplacement et de séjour de l'ensemble des participants
aux 15 symposium, le conseil scientifique a décidé d'exonérer chaque
participant à un symposium des frais d'inscription pour l'ensemble des
manifestations (symposium et colloque). Si cette modalité vous pose problème,
merci de me le signaler pour que je puisse en informer le comité
d'organisation. Proposition
de Symposium. " Cyberespace
et autoformation. ". Responsable
du Symposium : Séraphin ALAVA CREFI / UTM Face
à l'arrivée des nouvelles technologies et de la demande croissante d'une
formation permanente, les universités, comme les établissements scolaires,
sont conduits à expérimenter des nouveaux dispositifs de formation médiatisés.
Enseignement à distance, enseignement en réseaux, centre de ressources,
autodidaxie informative sont quelques-uns des nouveaux espaces de savoir qui
ouvrent le monde de l'école à chaque âge de la vie. Face
à cette révolution numérique et à l'émergence d'une société de
l'information, l'apprenant se trouve de plus en plus confronté à des bases ou
des réseaux documentaires de plus en plus volumineux. La capacité à s'autoformer
passe donc par une autonomie informationnelle qui est toujours à construire et
que nous nous proposons de décrire. En nous appuyant sur les travaux conduits
depuis cinq ans sur la médiation pédagogique et sur les pratiques
informationnelles professionnelles, nous souhaitons explorer la spécificité
des pratiques autoformatrices utilisant des réseaux numériques. Ce domaine en
plein essor scientifique est malheureusement peu investi par les chercheurs en
éducation. Il est pourtant l'enjeu d'un débat interdisciplinaire qui mobilise
les chercheurs en communication, ceux des sciences de l'ingénieur, des sciences
cognitives, des chercheurs en sociologie, en économie et des chercheurs en
sciences de l'Education. Ces
approches disciplinaires ont traité prioritairement l'évolution des pratiques
d'apprentissage et les relations Homme-machine, mais l'émergence d'une nouvelle
didaxie et l'étude des pratiques d'enseignement est encore aujourd'hui un
domaine de recherche à explorer . Le cyberespace introduit un tiers entre le maître
et l'élève. A travers le réseau, les temps et les lieux d'apprentissage sont
virtualisés. L'enseignant est conduit à repenser la classe autrement que comme
un espace clos et isolé du monde. L'autoformation , la formation permanente, la
formation continue, l'enseignement sur mesure, la formation médiatisée :
le cyberespace recontextualise les dispositifs de formation et questionne
l'ensemble des champs scientifiques de la recherche en Education. Ce symposium
sera un moment important de débat sur cette thématique et de mise en avant des
concepts et des approches de ces nouveaux espaces de formation. Pour l'ensemble
de ces espaces, nous examinerons la constitution explicite ou implicite du
processus d'enseignement/apprentissage et nous travaillerons la mutation des
procédures d'apprentissages vers des procédures d'autoformation. Symposium. " Cyberespace
et autoformation. " Responsable
du Symposium : Séraphin ALAVA CREFI / UTM ·
Georges Louis BARON,
professeur INRP (France). ·
Brigitte CHAPELAIN, Maître de
conférences INRP (France). ·
Nicole A. TREMBLAY, professeur
MONTREAL (Canada). ·
Bernard BLANDIN, Consultant
CESI Paris , GRAF,(France). ·
France HENRI, professeur Québec
(Canada). Et Louise SAUVE. ·
Gaston PINEAU, professeur
Tours (France). ·
Pedro FRANSCEC, professeur
Barcelone (Espagne). ·
Didier PAQUELIN, ENESAD
(France). ·
Georges Le MEUR, Nantes
(France). ·
Jean LOISELLE, Université du
Québec à trois-Rivières, Québec, (Canada). ·
Paul BOUCHARD, professeur
Montreal (Canada). ·
Dieudonné LECLERCQ, Liège
(Belgique). ·
Daniel POISSON, CUEEP,
(France). Laboratoire TRIGONE
Institut CUEEP - Université des Sciences et Technologies de LILLLE 59655
Villeneuve d'Ascq Cedex.111. ·
Eddy FORTE, Lausanne (Suisse).
Laboratoire d'enseignement assisté par ordinateur Ecole Polytechnique Fédérale
de Lausanne - CH-1015 Lausanne, SUISSE. ·
Daniel SCHNEIDER, Maître de
Conférences, Genève (Suisse).
TECFA, Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education - Université de
GENEVE - 9, Route de Drize, 1227 Carouge, Suisse. ·
Jacques RHEAUME, professeur,
Laval, Québec (Canada). Département
de Didactique, de Psychopédagogie et de technologie éducative, Faculté des
Sciences de l'Education, Université de LAVAL, Québec, Canada G1K7P4. ·
André MOISAN, CNAM,
GRAF,Paris (France). ·
Pierre LANDRY, Observatoire
des Technologies pour l'éducation en Europe et GRAF (France)
·
Serge POUTS-LAJUS Observatoire
des technologies pour l'éducation en Europe (France).
·
Martial VIVET, Université
libre du Maine (France). Laboratoire
informatique LIUM - Université du MAINE BP 535 F 72017 LE MANS Cedex. ·
Jiri VRBA, Docteur és
Sciences, enseignant et chercheur, République Tchèque (TCHEQUIE).
Université Palacky d'Olomouc Kriskovskeko 10 - 77180 OLOMOUC, République Tchèque.
·
Jean-francois PERRET, Chef de
projet, Neuchâtel (SUISSE).
Institut de psychologie de Neuchâtel Université de Neuchâtel Espace Louise
AGASSIZ I 2000 NEUCHATEL SUISSE. ·
Martine VIDAL, Directeur des
Nouvelles technologies CNED (France).
CNED - Direction Générale Astéram II, Avenue du Téléport 86960 FUTUROSCOPE
Poitiers France. ·
Philippe MARTON, Professeur,
Université de LAVAL( Canada) Faculté
des Sciences de l'Education - Université LAVAL Technologie Educative Université
de LAVAL GIK7P4 Québec / Canada. ·
D.BERTRAN, Professeur, TELUQ,
Canada. ·
Séraphin ALAVA, maître de
conférences Toulouse (France). |