Espace d'expression du 
groupe de recherche sur l'autoformation

Volontiers déclaré agonisant et condamné à l’oubli, le positionnement de l’autoformation comme concept clef d’un paradigme renouvelé de l’éducation est loin de faire l’unanimité : la critique porte notamment sur la diversité de cadres épistémologiques convoqués dans une conception balkanisée de l’autoformation.

Le propos de cette journée  est de mettre en travail cette question, au-delà d’une opposition réductrice entre épistémologies scientifiques et non scientifiques.

Ce double constat indique combien enjeux éducatifs, sociaux et épistémologiques sont étroitement intriqués et ce point fera l’objet également d’une attention particulière.

Parmi ces enjeux nous retiendrons notamment :

- le rôle dévolu au sujet dans la réussite de sa formation et le retour de l’intérêt porté au collectif (les communautés de pratique par exemple) comme vecteur d’autoformation ;

- le glissement des approches de l’autoformation du côté des approches du développement personnel

- les liens entre processus d’autoformation, apprentissages informels et expérience.

Ce double constat indique combien enjeux éducatifs, sociaux et épistémologiques sont étroitement intriqués et ce point fera l’objet également d’une attention particulière.

Parmi ces enjeux nous retiendrons notamment :

- le rôle dévolu au sujet dans la réussite de sa formation et le retour de l’intérêt porté au collectif (les communautés de pratique par exemple) comme vecteur d’autoformation ;

- le glissement des approches de l’autoformation du côté des approches du développement personnel

- les liens entre processus d’autoformation, apprentissages informels et expérience.