Vendredi
22 janvier 2010
Autoformation
et reconnaissance.
Organisatrices
Claude Debon et Yvette Moulin
Les
textes de la journée Lieu : CNAM
salle des conseils (37.1.49)
2, rue Conté,
75003 Paris
9h15
Accueil
des participants
9H30
Introduction, problématique, programme de la journée
Claude
Debon - Yvette Moulin
10h
Quelle
légitimité autoréférentielle ?
Gérard Gigand
Entrepreneur du bâtiment et diplômé en sciences de l’Education
10h45
Luttes
sociales, dynamiques identitaires
et enjeux de reconnaissance
Les apports de la théorie
de la reconnaissance sociale d’ Axel
Honneth
Yvette Moulin
11h30
Pause
11h45
Table-ronde
1
Animation : Bernadette Courtois
Trajectoires
individuelles et conflits de reconnaissances
Témoignages de 3 participantes aux parcours faits de ruptures, transitions, incertitudes
13h
Déjeuner
14h
Entre dépendance et autonomie, la
question de l’estime de soi
Comment la Psychanalyse rend-elle compte des conflits de reconnaissance ?
Janine Oxley
Psychologue-psychanalyste auprès
de travailleurs sociaux
15h15 Table
ronde 2
Animation : Martine Morisse
Interactions entre expérience
autoformatrice et référents institutionnels de la formation
Rôle joué par la VAE, la
formation validée, les diplômes dans
la reconnaissance de soi et les
transformations
sociales.
Apports de professionnels de la formation et chercheurs
Patrice Leguy, Yvette Moulin,
Christine Snabre
16h30-17h Synthèse
de la journée
André
Moisan sociologue.
Enseignant-chercheur au Cnam
(Aussi
: Projet
de Colloque "Autoformation
et reconnaissance")
- Ecouter
: Conversation avec Paul Ricoeur à propos de son livre "Parcours de
reconnaissance",
France Inter, 2004 (patientez
2' pour avoir le début de l'émission)
- Consulter le n° 23 de la revue MAUSS : De la reconnaissance. Don, identité et estime de soi (1er sem. 2004)
+ un texte de présentation (24 pages) d'Alain Caillé à cette adresse :
http://www.revuedumauss.com.fr/Pages/S23.html
- Consulter : Ricoeur en reconnaissance d’humanité Le philosophe interroge la condition de l’homme moderne à travers un parcours singulier dans
l’histoire. Ses engagements et sa philosophie traversent le XXe siècle à l’abri des modes et des écoles. A plus de quatre-vingt-onze ans, Paul Ricoeur découvre le chantier de la reconnaissance. Il le creuse à la fois comme un parcours cosmopolite de la singularité humaine qui s’arrache à la méconnaissance de soi, à l’ignorance et au mépris des autres et comme la promesse fragile, la tâche toujours à venir d’un don qui n’attend pas de retour. Un horizon de paix et de concorde.
http://www.humanite.presse.fr/journal/2004-03-24/2004-03-24-390682
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